dimanche 1 janvier 2012

Souhait

Chers frères et soeurs, du moment que l'année 2011 touche à sa fin, voudrions-nous à travers ces mots, vous présenter nos vœux les meilleurs ! De fait, nous voulons retracer l'année en tenant compte des moments de joie et de détresse.
A Noël, en cette nuit éclatante par la naissance de Celui qui est la vraie lumière, « les merveilles abondent, les richesses se multiplient, car le trésor est ouvert : celle qui enfante est Mère et Vierge ; celui qui est enfanté est Dieu et Homme », affirmait  saint Bernard.
La longue nuit du monde a donc pris fin. Le Christ vient non seulement visiter le monde mais demeurer dans le monde. Lui, Image du Père qui porte notre péché pour nous vêtir de sainteté ; Lui, Parole éternelle du Père, qui apprend notre langage pour nous révéler l’indicible ; Lui, Lumière éternelle du Père, qui pénètre notre nuit pour y faire naître le jour ; Lui, Sagesse éternelle du Père, qui devient nourriture pour nous donner le goût de Dieu !
« Que les cieux se réjouissent, que la terre tressaille devant la face du Seigneur, car un Sauveur nous est né aujourd’hui, il gouvernera le monde avec justice et les peuples selon sa vérité ».




"Comme  il  est beau  pour des frères  et soeurs de vivre ensemble et d'être unis!" 



Fraternellement,  joyeuse fête de Noël 2011 et une heureuse année nouvelle 2012. Noël est la mère de toutes les grandes fêtes des salvatoriens. Ainsi, pour ce faire la branche masculine et féminine se joignent pour célébrer la naissance du Sauveur, Fondateur par excellence de la Société du Divin Sauveur. C'est la raison pour la quelle tout membre s'est senti naturellement ménacé d'hexiber soit la danse, soit un petit numéro "pour la gloire de Dieu et le Salut des Hommes" dicton propre au Vénérable père Fondateur Jean Marie de la Croix Jordan. Pour la Noël de cette année 2011, ce sont les Sds (Soeurs du Divin Sauveur) qui ont ouvert la soirée à Tshabula par une Prière dirigé. Notons aussi que deux volontaires allemandes qui restent avec les sds pour quelques temps ont réhaussé de leur présence.  

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